quarta-feira, 1 de setembro de 2010

Tribute to Erik Satie e Marguerite Duras

Je te rencontre.






Je me souviens de toi.
Qui est tu?
Tu me tues.
Tu me fais du bien.


Comment me
serais je
doutée que
cette ville était
faite à la taille
de l'amour?


Comment me serais
je doutée que tu
étais fait à la taille
de mon corps même?


Tu me plais
quel événement.


Tu me plais.


Quelle lenteur tout à coup.
Quelle douceur.
Tu ne peux pas savoir.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
J'ai le temps.
Je t'en prie!
Dévore-moi.
Déforme-moi jusqu'a la laideur.
Pourquoi pas toi.


Pourquoi pas toi.
Dans cette ville et dans cette nuit pareille
aux autres au point de s'y méprendre?


Je t'en prie...
Je te rencontre.
Je me souviens de toi.
Cette ville était fait à la taille de l'amour.
Tu étais fait à la taille de mon corps même.


Tu étais fait à la taille de mon corps même.
Qui est tu?
Tu me tues.
J'avais faim.
Faim d'infidélités, d'adultères, 
de mensonges et de mourir.


Depuis toujours.
Je me doutais bien
qu'un jour tu me 
tomberais dessus.


Je t'attendais dans une impatience
sans borne, calme.
Dévore-moi.


Déforme-moi à ton image
afinqu' aucun autre, 
après toi,
ne comprenne plus du tout le
pourquoi de tant de désir.


Nous allons rester seuls, mon amour.
La nuit ne va pas finir.
Le jour ne se levera plus sur personne.
Jamais.
Jamais plus. 
Enfin.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.


Tu me fais du bien.
Tu me tues.
Nous pleurerons le jour défunt
avec conscience et bonne volonté.
Nous aurons plus rien que pleurer le jour défunt.


Du temps passera.
Du temps seulement.
Et du temps va venir.






















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